Avec déjà 5 singles à son actif et un premier EP intitulé Un Mec Normal, publié le 18 mars dernier, Eyal, jeune artiste toulousain, a déjà conquis le coeur de nombreux fans : dans la Ville rose, bien sûr, sa première Muse, qui inspire les paroles de ses chansons et signe aussi son style musical, solaire, populaire, festif, mais aussi à travers le Web (1,5 Millions de vues sur son projet EP), et enfin sur scène puisqu’il s’est déjà produit au Zénith de Toulouse en première partie de Boulevard des Airs et plus récemment au Bikini, avec les Cats on Trees.

Cet ancien international de tennis (classé -15) qui avait rejoint le Stade Toulousain dès l’âge de 10 ans, a choisi de privilégier sa carrière d’auteur-compositeur-interprète et de vivre pleinement sa passion pour la musique. Depuis 1 an et demi, il a rejoint le label Columbia chez Sony Music. « J’ai acheté ma première guitare quand j’avais 19 ans, je savais à peine en jouer à l’époque, mais depuis ce jour, on ne s’est plus lâché ! »

« je souhaite proposer au public des chansons intimistes, solaires et entraînantes. Pour mes textes, je m’inspire directement de mon vécu, j’essaie de partager avec le plus de sincérité possible mes émotions et mes souvenirs. »

« Je suis né à Toulouse, j’ai grandi à Lardenne. Il est donc naturel pour moi de chanter la Ville rose, mes coups de coeur comme dans Ma Toulousaine, et mes coups de blues comme dans Liza. »

« Ma première passion c’était le tennis, un sport que mon père a pratiqué à un haut niveau (classé 0) ; mon héros, c’était Nadal. Depuis mes 5 ans et jusqu’à 22 ans, mon rêve était de devenir champion de tennis. J’ai rejoint le Stade Toulousain à 10 ans, et 3 ans plus tard je partais en Sports Études à Nice où je suis resté pensionnaire jusqu’au Baccalauréat. Puis je suis revenu au Stade Toulousain et j’ai entamé alors une carrière professionnelle en participant à des championnats en France et à l’étranger. Même si je me consacre entièrement à la musique aujourd’hui, je pratique bien sûr encore ce sport, ma passion pour le tennis s’est même étendue au padel et je participe régulièrement à des matchs d’exhibition. »

« D’ailleurs, je dois aussi certaines de mes rencontres musicales à mon activité sportive. C’est ce qu’il s’est passé avec Florent Dasque, de Boulevard Des Airs : on a commencé par échanger via les réseaux sociaux à propos du tennis, un sport qu’il adore lui aussi, et de fil en aiguille il a fini par me proposer de venir les voir à Tarbes pour jouer de la raquette et de la guitare le temps d’un week-end qui a changé ma vie. Je leur ai chanté On dirait le bonheur et 1 mois plus tard ils m’ont proposé la 1ère partie de leur tournée au Zénith. Grâce à eux, j’ai pu me produire à Nantes, Bordeaux, Toulouse et 3 mois plus tard je signais chez Columbia. »

« Depuis, on fait de la musique ensemble. On a créé une sorte de collectif, avec aussi d’autres artistes. Boulevard Des Airs a participé à la production de mon EP, ils ont réalisé les arrangements, Sylvain Duthu a co-écrit le titre Un Mec normal. »

« Un Mec normal qui donne son titre à mon EP, c’est un peu mon single signature. J’ai appris la guitare sur le tard, j’avais déjà 18 – 19 ans, en suivant des didacticiels sur le Web. Dès que j’ai su jouer un accord, j’ai commencé à composer de la musique. Depuis j’ai appris le piano. Je travaille le plus souvent mes maquettes sur mon ordi, dans ma chambre. Les artistes qui m’ont influencé sont Christophe Maé pour son côté populaire et festif, Michel Berger, Serge Gainsbourg, mais aussi Ed Sheeran qui a inspiré mon jeu de guitare, surtout au début, Stromae pour ses mélodies et ses textes percutants, Lomepal pour sa poésie et sa spontanéité, Angèle, et parmi les Toulousains que j’admire : Claude Nougaro, Big Flo & Oli qui parlent si bien de Toulouse, Fabian Ordoñez, Yvan Cujious, Omar Hasan et Jain, que j’aimerais beaucoup rencontrer ! il y en a tellement, et il y a une vraie effervescence musicale à Toulouse ! »

« Alors oui, je suis bien un Mec normal qui rêve de l’Olympia et en attendant, je fais des rencontres extraordinaires comme avec Yohan et Nina des Cats on Trees. Yohan me suit depuis mes 18 ans, il m’a pas mal aidé depuis le tout début, j’ai le même éditeur qu’eux, Pierre Rougean, et quand ils m’ont proposé leur 1ère partie au Bikini en avril dernier, c’était pile au bon moment ! »

« J’adore la scène, voir le public bouger, danser, chanter sur ma musique. Grâce au Petit Tou et TBS j’ai eu le plaisir ce mois-ci de chanter sur la Place du Capitole, et le 23 mai, grâce à 100% Radio, je me suis produit aux côtés d’artistes comme Gaëtan Roussel, Charlie Winston, Selah Sue et The Faim ! »

« Je suis aussi en train de préparer 2 – 3 concerts qui auront lieu après la Fête de la Musique dans des lieux cultes de Toulouse, et un showcase pendant le “Human Padel Open”, premier tournoi en France du World Padel Tour, compétition internationale qui réunira les meilleurs joueurs mondiaux de Padel du 13 au 19 juin 2022 à Toulouse ! Je vous invite à me suivre sur Facebook pour me retrouver sur ces événements ! »

« Enfin, le 25 mai, je publie mon nouveau clip pour le single Ça fait plaisir. Il s’agit d’un long plan séquence sur les quais de la Daurade, pendant lequel on me voit évoluer au milieu de danseurs, j’ai hâte que les gens découvrent cette vidéo ! »


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Interview d’Eyal, le 10 mai 2022, hôtel Mercure Compans. Publication pour la Newsletter du Club des Ambassadeurs de Toulouse Métropole – Mai 2022 – Crédits photos : Cedrick Not – Réalisation : Iriade, iriade.fr.